Elle apparut, l'air d'un ange, comme un mirage,
Etrange inconnue, dotée d'un si doux visage.
Sa beauté naturelle, son charme enivrant,
Ses longs cheveux lisses, qui dansent avec le vent,
Ses yeux de malice, son regard captivant,
Font d'elle la énorme belle, et de moi son servant.
Adieu à ma raison, bonjour folie nouvelle,
N'ai-je comme horizon que ce désir mortel?
Je ne peux rester indifférent devant elle,
Envahi par l'irrésistible attrait charnel.
Envoûté par sa pureté et son innocence,
Je ne sais énorme quoi penser, énorme rien n'a de sens.
Je ne peux que perdre la notion temporelle,
Tant pour elle mon amour restera éternel.
- Komenasai -